Résumés(1)

Shot entirely on an iPhone, this drama follows an aspiring rapper through one wild night as he tries to raise funds to record a hit song — a "banger." (Netflix)

Critiques (6)

POMO 

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français Une comédie punk sur des junkies, avec une kyrielle d’insultes et de répliques humoristiques et un dénouement dramatique qui lui donne un côté sérieux. Le montage créatif et la technique authentique de caméra dynamique portée à la main (smartphone) ne donnent pas seulement un élan solide au film, mais rendent également divertissante une histoire par ailleurs peu étoffée. Et ce même si les gros plans flous sur les visages sont trop appuyés pour le grand écran. La profondeur du jeu expressif de Mišík dans la dernière scène révèle le plus grand traumatisme de sa vie, lorsque, enfant, il voulait une glace et n’en a pas obtenu. Le spectateur appréciera d’autant plus le film s’il n’est pas familier avec le travail formellement similaire mais scénaristiquement plus abouti des frères Safdie (Uncut Gems notamment). ()

J*A*S*M 

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anglais This subculture is completely alien to me, for example, I had no idea about the existence of that funny painted tough guy until Wednesday. The theme and characters of BANGER. went really over my head, but I still have to appreciate that such a film has been made here in Czechia. The screenplay as a whole makes sense (though I have problems with certain details), the performances are fine, and the comedic timing of the dialogue exchanges between Mišík and Bendig is top-notch. I'd ease up on the memes, though. (56th KVIFF) ()

EvilPhoEniX 

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anglais A bit of a disappointment for me. The overall look of the film is quite amateurish, but that's forgivable. The acting is okay. Adam Mišík's performance is authentic and Marsell Bendig is the best thing about the film, even if he was hard to understand at times. Story-wise, it's simple and I was hoping the film would both be about more characters and go more to the extreme. I was expecting a proper rave party and even in terms of drugs it's not as intense as European or American films. This progressive form is welcome Czech cinema, but a film like Vyšehrad was completely different in every way. 6/10. ()

Goldbeater 

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français BANGER., c’est une nuit d’aventure à Prague filmée de manière incroyablement frénétique. C’est aussi un film très progressiste qui apporte un souffle nouveau agréable et surtout nécessaire sur le cinéma tchèque autrement empoussiéré. J’ai bien quelques réserves mineures et j’aurais tempéré certains passages et enfoncé le clou par endroits, mais l’un dans l’autre, c’est un trip haut en énergie, dynamique, avec une réalisation qui a du caractère et un jeu d’acteurs authentique. [KVIFF 2022] ()

Stanislaus 

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anglais Rap passes me by in a giant arc and I'm not a fan of handheld cameras, yet BANGER. won me over and I was extremely impressed. It's basically one incredibly wild and frantic ride that works almost perfectly from start to finish. A big part of this is the fact that the film is shot on an iPhone and that the action takes place over the course of a few hours. Thanks to the original insertions and the novel visual concept, this is an extraordinary experience in the context of Czech cinema. When it comes to the acting, I was most entertained by Marsell Bendig (I even thought he was Jan Bendig for a good part of the film), he truly amazed with his performance. Towards the end, the film reminded me of Coal Tower, but it was qualitatively on another level. ()

claudel 

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français Le film qui se démarque le plus des productions tchèques de 2022 et qui divisera sans doute le plus les générations – du moins pour ce qui est du langage. Les gens de plus de 40 ans auront du mal à comprendre, ceux de plus de 50 ans encore plus et au-delà, il faudra peut-être tout miser sur les sous-titres. Je respecte l'innovation, mais la forme m'a dérangé. Par contre, l'histoire dans son ensemble avait du sens pour moi. Je craignais qu'il ne s'agisse d'un rap pathétique par un individu friand de piss action qui déverse sa colère tout autour de lui. En matière d'interprétation, on est loin d’égaler Arvéd ; Mišík et Bendig font pâle figure par rapport à Kern et Rašilov, même si la comparaison est à nouveau difficile. Mais qu'un tel film ait vu le jour est certainement une bonne chose. ()