C'est dingue... mais on y va

Afin de tester son efficacité dans la surveillance des centrales nucléaires, la sécurité militaire italienne fait appel aux services français de meme nature que dirige le général Beausourd. Il est convenu entre les deux partis que l'action des militaires français doit demeurer secrète afin de ne pas fausser les résultats. Le général Beausourd décide alors d'envoyer à Orvieto, où se construit une centrale, ses trois meilleurs agents qu'il fait passer pour un trio de musique de chambre. Et, pour plus de sécurité, il assurera une diversion en ordonnant l'enlèvement du responsalbe de la construction, le savant atomiste Arthur Neyssac. Cette mission est confiée à quatre jeunes militaires particulièrement remuants (Stéphane Hillel, Remi Laurent, Michel Bonnet et Michel Melki). Le plan se déroule d'autant mieux que le savant est un habitué de la trattoria où les jeunes gens dinent dès leur arrivée à Orvieto. Mais l'atomiste enlevé trompe leur vigilance et disparait. Une partie de cache-cache s'engage alors entre la police italienne et les militaires français, aidés il est vrai par Angela, la fille du patron de la trattoria. Quant à Neyssac, plusieurs fois enlevé et relaché, il est finalement hospitalisé pour servir d'appat. Les jeunes soldats parviendront cependant à le récupérer alors que les as du général Beausourd échouent dans leur mission. (Compagnie Commerciale Française Cinématographique (CCFC))