The Enchanted Cave

  • anglais The Cursed Cave (titre de festival) (plus)
Bande-annonce 2

Résumés(1)

A mountain kingdom falls into chaos when a miner's daughter steals a cursed ruby from a magical cave and a dying monarch's family battles for the throne. (Netflix)

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Bande-annonce 2

Critiques (2)

claudel 

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français Après le politico-mafieux Sviňa, la réalisatrice avait besoin de faire un conte de fées. Une chose que je peux comprendre aisément – passer d’une réalité dure, cruelle et meurtrière à un monde de magie et de fantaisie, où le mal n'a finalement aucune chance. Pour les fans de Táňa Pauhofová, ce conte provoque une constatation quelque peu douloureuse, puisqu’elle passe brusquement du statut de princesse à celui de reine, par-dessus tout de reine maléfique. Marko Igonda dans un rôle positif, il me semble que c'est de l'inédit. Par contre, évidemment, quand Karel Dobrý fait partie du casting, on a là un méchant encore plus redoutable qu'Igonda, au point que celle-ci aurait de quoi rejoindre le camp des gentils. J’ai trouvé que le conte s’essoufflait un peu au milieu et ne se reprenait jamais. Mais globalement, je ne dirais pas qu’il est à jeter, parce que de toute évidence, on a vu bien pire dans la cinématographie tchéco-slovaque ces dernières années. ()

Stanislaus 

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anglais The Cursed Cave mixes beautiful natural scenery (snowy landscapes, a deep lake, distant green hills, stalactite caves) with an enchanting fairy tale story (good vs evil, harmony with nature vs greed) and a somewhat flimsy script and strange casting. The production design and costumes are of a high standard (perhaps only Predrag Bjelac looked more buffoonish than the magician with gunpowder), and the story, though not innovative but purely fairy-tale and educational, had its charm. In the first third, the sequence of scenes with the seasons was quite lame. However, the biggest stumbling block was (for me) the cast: some actors and actresses seemed to me rather stiff in their roles, and Tanya Pauhofová was not a happy choice for the villain, while the demonic Karel Dobrý overacted in a role that suited him at first sight. In the end, though, this is still a good co-production tale for just one viewing. ()

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