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Quatre histoires d'amour filmées en France, en Italie, en Allemagne, au Japon et en Pologne tentent de nous faire entrevoir ce que peut être l'amour à vingt ans. Les images de transition entre chaque sketch ont été réalisées par Henri Cartier-Bresson. (Fox Pathé Europa)

Critiques (1)

Dionysos 

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français Quand je regarde l'état actuel des contributions locales, je conclurais que personne n'a vu le film dans son ensemble, mais seulement le segment de Truffaut. Personnellement, j'ai aussi choisi de regarder le film à cause de lui, mais après avoir regardé tout le recueil de nouvelles, je dois admettre que je le regarderais une deuxième fois principalement à cause de Wajda. Seulement après cela viendrait Truffaut (pour ses fans, cette oeuvre est une obligation, donc il n'est pas nécessaire de le recommander) et (surprise) Ishihara. Les deux autres histoires ne vont nulle part, avec une structure comme arrachée de quelque chose de plus large et plus long (comme lorsque l'on arrache un chapitre entier d'un livre). Cependant, le Polonais et sa vision amère de l'amour à vingt ans m'ont le plus enchanté : un élan fugace d'une personnalité encore incomplète, ne réalisant pas les conséquences de son comportement, apportant une confusion mentale et une tourmente à celui pour qui l'amour, à cause des événements historiques, n'est plus qu'une insouciance évidente. Un récit visuellement agréable sur un amour meurtrier a été réalisé par un certain Monsieur Ishihara, qui a certes réalisé seulement deux films et en a joué quelques autres, mais qui a écrit de nombreux livres dans sa jeunesse et est devenu un homme politique de premier plan à l'âge mûr, par exemple, de 1999 à 2012, il a été gouverneur de Tokyo et siège aujourd'hui au parlement ! ()

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