Résumés(1)

Paolo, jeune architecte qui vient de quitter sa famille, est completement déboussolé. Il cherche inconsciemment la femme ideale et quand il tombe sur Francesca, vivante et sans attaches, il l'idolatre mais ça tourne mal: il la tue et la mange. (texte officiel du distributeur)

Critiques (1)

Dionysos 

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français La Ferrari classique nous offre à nouveau beaucoup de son répertoire traditionnel - un humour noir bizarre (une cigogne dans la chambre à côté du réfrigérateur ouvert dans lequel il y a... eh bien, je ne vais pas révéler, un hommage au chien bien-aimé décédé /sur l'image/), un comportement symbolique des personnages, un esthétisme légèrement moins fort, des analogies surprenantes et pertinentes. Et bien sûr, la relation, surtout sexuelle, entre l'homme et la femme, actualisée cette fois-ci par la situation du début des années 90. L'athéisme et le communisme semblent avoir perdu, non seulement en Italie, il nous reste donc à nouveau Dieu et, comme toujours, la femme (l'amour et le sexe), tous deux deviennent l'objet d'une obsession perverse du héros principal. Comment peut-on combiner les deux et les préserver pour toujours ? (Attention aux spoilers !) Comme chaque messe chrétienne nous le montre, la réponse est évidente - il suffit de tuer et de manger son propre Dieu, alors il est avec nous pour toujours. ()

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