Réalisation:
Jan BřezinaScénario:
Jan BřezinaPhotographie:
Jan SkriečkaMusique:
Martin HůlaRésumés(1)
Erhart returns to his hometown to visit his mother who has been hospitalized after a psychotic fit. She has been suffering from mental problems since her husband was convicted for fraud, and her son is used to his mother's delusions. After discovering that the family home belongs to a company in a tax haven, he begins to question truths and lies himself. This drama about the wild times of privatisation is the feature debut of Jan Březina. (Finále Plzeň)
(plus)Critiques (1)
Erhart réalise qu’il se passe quelque chose de louche autour de sa maison natale, et vu qu’il n’a pas grand-chose à faire au quotidien, il peut se consacrer entièrement à élucider ce mystère. Erhart n’aime pas se changer, ce qui fait qu’après plusieurs jours/semaines d’intrigue, il porte toujours les mêmes fringues. Grâce à son charme, Erhart est capable de fasciner tout personnage féminin se trouvant devant lui, fort heureusement à l’exception de sa mère. Bien que le film porte son nom, Erhart n’est pas le héros du film. En fait, il n’a pas de raison d’être, parce que ce sont les autres personnages qui font avancer le schmilblick et on aurait tout aussi bien pu le retirer complètement du métrage. Jan Březina s’est laissé emporter par de grandes ambitions visuelles et en a négligé la narration. Résultat : les 71 malheureuses minutes du film n’ont pas de substance et se révèlent épuisantes. [Finale Plzeň 2022]
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