The Musical, or the Way to Happiness

This is what you get from the Academy of Performing Arts in Prague. A graduate making a film from the conservatory environment at a summer camp. Unbelievable. While the previous Slobodanka film was practically unseen and it didn't come out on anything, and the book is still lying around somewhere, this is again a late example from the family of false nostalgia. Thanks for another useless movie about today's youth. There are lots of missed opportunities here. Good riddance. (11/06/2018)

Comme hommage musical aux Cueilleurs de houblon ou en tant que film sur les répétitions d'une pièce de théâtre, le film échoue complètement et ne peut être accepté que comme une variation tchèque des films de danse contemporains tels que Let's Dance, avec lesquels il partage un scénario faible et également de nombreuses scènes de danse et de musique plutôt réussies pour le contexte tchèque. Cependant, à part les chansons, il n'y a pratiquement pas de lien avec le cultissime Cueilleurs de houblon  - si les étudiants du film répétaient autre chose, cela n'aurait pas d'importance et il n'y aurait pas besoin de changer l'histoire. De plus, et c'est pire, le film montre très peu de ces répétitions et rien du tout de la performance finale devant le public. Les bons films de ce type reposent justement sur une présentation détaillée de l'entraînement, où nous suivons les héros se débattre et faire des erreurs, et nous tremblons à la fin en nous demandant s'ils arriveront à se produire sans erreur et nous sommes émus quand cela se produit. Cela est complètement exclu ici. (16/01/2016)

Pourquoi toujours des enfants de stars ? N’y a-t-il vraiment pas moyen de trouver d’autres jeunes talents qui ne sont pas porteurs d’un nom célèbre ? Hormis cette considération, on est en présence d’un film inutile parmi d’autres qui bénéficie néanmoins d’une certaine valeur ajoutée (contenu, musique, danse, jeu des acteurs). Je n’ai aimé que Vica (comme toujours) et Roman. Le rôle de Jiří Korn n’a lui non plus aucun intérêt. Même si je n’ai rien de mieux à faire que de transpirer dans mon lit et de regarder des films à l’infini, je considère ces quatre-vingts minutes comme gaspillées. (03/08/2016)