Human Flow

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Bande-annonce 1

Résumés(1)

Plus de 65 millions de personnes à travers le monde ont été contraintes de quitter leur pays pour fuir la famine, les bouleversements climatiques et la guerre : il s’agit du plus important flux migratoire depuis la Seconde Guerre mondiale. Réalisé par l’artiste de renommée internationale Ai Weiwei, Human Flow aborde l’ampleur catastrophique de la crise des migrants et ses terribles répercussions humanitaires. Tourné sur une année dans 23 pays, le documentaire s’attache à plusieurs trajectoires d’hommes et de femmes en souffrance partout dans le monde – de l’Afghanistan au Bangladesh, de la France à la Grèce, de l’Allemagne à l’Irak, d’Israël à l’Italie, du Kenya au Mexique et à la Turquie. Human Flow recueille les témoignages des migrants qui racontent leur quête désespérée de justice et de sécurité. Ils nous parlent des camps de réfugiés surpeuplés, de leurs périples en mer à très haut risque, des frontières hérissées de barbelés, de leur sentiment de détresse et de désenchantement, mais aussi de leur courage, de leur résilience et de leur volonté d’intégration. Ils évoquent la vie qu’ils ont dû abandonner et l’incertitude absolue d’un avenir meilleur. HUMAN FLOW nous interroge sur l’une des questions essentielles à notre époque : la société mondialisée parviendra-t-elle à s’extraire de la peur, de l’isolement et du repli sur soi ? Saura-t elle se tourner vers l’ouverture aux autres, la liberté et le respect des droits de l’homme ? (Mars Distribution)

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Critiques (2)

Othello 

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anglais As a quiet observation and evidence of the failure of Europe at its core, it's perfect. As soon as it tries to be an informatively engaged documentary, Ai WeiWei's lack of filmmaking sensibility and tendency towards megalomania becomes apparent. It truly hits bottom whenever the great savior himself starts parading in front of the camera, nodding his head sensitively. Fortunately this doesn't happen too often. Still, you’ll be surprised that out of 900 hours of footage, the final cut includes a shot of a fat WeiWei unable to fit through a revolving door. Unfortunately, I couldn't find my hoodie this time either. (I mean, in 2015 I participated in a couple of refugee fundraisers, and during one I accidentally threw my beloved Solstafir hoodie into the pile of donated clothes, which some lucky refugee must be wearing now. Since then, I’ve been carefully searching through all the photos of refugees from the Balkans to see if I can find one wearing it somewhere, and if I can somehow arrange to get it back. No luck yet.) ()

kaylin 

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anglais When I watch a documentary like this, I fully realize that I am truly fortunate in the way I live my life and that I don't have to put myself in the situation of the people described here. We condemn refugees, we fear them, and we don't really get to interact with them, but it's just a natural part of settling the Earth. ()