The Magic Quill

  • Tchéquie Čertí brko (plus)
Bande-annonce 2

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A fairy tale featuring landlady Margaret, devil Boniface, corrupt councillors and a lazy tailor. In Hell, the devils have a quill that writes human sins into the Book of Sins and the devils go and pull the sinners down to Hell. One day, the quill stops working, and devil Boniface is sent to the Earth for a new one but a lazy tailor steals the quill from him. The devils back in Hell think nobody is sinning but up on the Earth, everything is topsy-turvy. Boniface admits to Margaret that he is responsible for the whole mess. Together, they not only save the town from destruction, but Boniface learns what true love is. (JuniorFest)

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Bande-annonce 2

Critiques (5)

claudel 

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français Le succès du conte est certainement à attribuer à la qualité de son traitement, qui vise à la fois petits et grands. Il y a quand même une chose que je regrette légèrement : j’aime beaucoup Jan Cina et le considère comme un acteur et chanteur de talent, mais ici, tout le monde excelle à part lui. Peut-être est-ce lié au sort des héros et au fait que les antagonistes sont joués par Budař et Jeřábek? Il n’atteint pas la qualité du légendaire S čerty nejsou žerty, mais il se laisse regarder malgré tout. ()

Filmmaniak 

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français Le film Čertí brko (The Magic Quill dans sa version anglaise) a été réalisé par les créateurs de la série télévisée Kancelář Blaník - et cela se voit. En effet, la moitié de son intrigue est constituée d'une dimension politique et satirique accentuée, qui heureusement est assez générale et dépend seulement de vous pour la rapporter à la situation politique tchèque actuelle. En dehors de cela, le film n'apporte rien de particulièrement marquant et cela occulte même le reste du conte de fées, qui est franchement faible et cliché - il se met en mouvement lorsque le héros principal fait une erreur au début (il se fait voler des objets magiques) et tente ensuite de réparer cela tout au long du film, ce qui est à la fois un grand classique de nombreux contes de fées tchèques et surtout une intrigue à deux facettes. Le duo central de héros n'est pas très intéressant et, étonnamment, même pas sympathique, le premier participant à l’histoire comme un simplet qui ne fait que causer des problèmes, et la seconde présentée comme une manipulatrice douée qui manipule égoïstement ses prétendants et se transforme ensuite en objet vulnérable du désir, attendant simplement passivement d'être sauvée. Les deux tombent éperdument amoureux dès leur première rencontre (quand elle le prend pour un voleur et lui jette de l'eau), plutôt parce que le scénario l'exigeait que parce que cela découle naturellement de leur interaction. Dans la seconde moitié, l'histoire se transforme en une série de courses-poursuites, de bagarres et de pièges pas toujours très cohérents ni intelligents, le film ne contenant rien de véritablement effrayant (même Lucifer se présente plutôt comme un oncle attentionné) et curieusement, il offre même assez peu d'humour. Cela est compensé par une production cinématographique correcte, comprenant un concept de l'enfer remarquablement imaginé, quelques moments d'originalité, plusieurs séquences visuellement impressionnantes, des performances d'acteurs plaisantes ici et là (notamment celle d'Ondřej Vetchý) et surtout, la dimension politique clairement mentionnée. ()

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Necrotongue 

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anglais I consider The Magic Quill to be above average, but I must admit it’s more about the actors than the writing. It seemed a bit "trapped" at times, and it could also use a bigger dose of humor. As usual, there was singing and dancing, which is a real put-off for me in fairy tales. I enjoyed Jana Plodková’s performance in each of her scenes and I just wished she had a slightly bigger role. ()

D.Moore 

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anglais "Are you the reason this backwater is such a mess???"Three Brothers was a funny fairy tale, The Magic Quill is a fantastical comedy. And absolutely brilliant! I’m very happy with the casting of almost all the roles, the script is both funny and makes sense, Marek Najbrt's direction has just the right shot rhythm, and the set design, including the old-school effects, is great. I laughed every once in a while and I have to admit that the comparison with Give the Devil His Due is truly merited byThe Magic Quill. Don’t let sin be your ruin! ()

Malarkey 

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anglais A nice and fairly entertaining fairy-tale whose negative aspects are at the same time in a weird way the strengths of the entire movie. For instance, it’s been a long time since I saw a more significant collaboration between Czech and Slovak actors, and I was really happy about it. However, I wouldn’t have expected that it would be so hard for Judit Bárdos to speak Czech. I don’t want to hold it against her. I simply found it surprising. In terms of acting and beauty, she sure is the most beautiful fairy-tale character in the past twenty years. The story is also pretty original and imaginative, but if it weren’t for the corruption in the town of Pytlov, there would be nothing for the story to narrate. And as regards humor, sometimes the movie is funny, but then all of a sudden you have nothing to laugh at for about five minutes. All in all, at first sight, I gave the movie a four-star review, but then I decided to tone it down a bit because when I thought about how excited I was walking home from the cinema after seeing Angel of the Lord 2 because I must admit that I didn’t have the feeling of a well-made fairy-tale this time. ()

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