Réalisation:
Robert EnricoScénario:
Robert EnricoPhotographie:
François CatonnéMusique:
Maurice JarreActeurs·trices:
Michael York, Brigitte Fossey, Macha Méril, Jean Bouise, Bruno Wolkowitch, Laura Dean, Jean Lescot, Eugeniusz Priwieziencew, Dominique Frot (plus)VOD (2)
Résumés(1)
Tout commence à Varsovie en 1939 avec l'arrivée des nazis. Son histoire est celle de Grayewski, un petit juif du ghetto. Sa mère et ses frères seront gazés à Treblinka. Son père sera tué en combattant durant l'insurrection. Martin survivra à l'extermination décidée par les nazis. Résistant puis officier du NKVD dans l'Armée Rouge, il entre à Berlin en 1945 pour venger tous les siens. Il a vingt ans. Déserteur, il émigre à New York, où l'accueille une grand-mère, seule rescapée du génocide européen. Aux États unis, à force de travail, Martin devient un homme puissant et riche. Il ne lui reste plus qu'à créer une famille, pour que toujours quelqu'un témoigne "Au nom de tous les miens" contre les bourreaux. Dix ans de bonheur fragile construit par Martin Gray, au jour le jour, dans le midi de la France et qui s'achèvent dans le malheur : sa femme Dina et ses quatre enfants sont victimes d'un incendie de foret. Un feu qui tout à coup fait surgir de sa mémoire son passé jusque-là refoulé. (StudioCanal)
(plus)Critiques (1)
Some passages are among the most inspiring documentaries about the sheer depravity of the Holocaust, and the entire section in the concentration camp exudes a naturalistic effect comparable only to a small handful of actual video footage or survivors' accounts. But the film has immeasurable ambitions and tries to cover half of the protagonist's life, gradually switching rather disorderly between different formal and narrative stages and failing to hold the viewer's attention enough to justify its overlong 140 minutes. Still, I would have rather appreciated its historical and purely moral value if it wasn’t for that insanely forced ending, which in its tone and execution seems to have been cut from a completely different film. Great intentions unfortunately drowned in a jumble of great filmmaking efforts, some of which work brilliantly while others make it impossible to connect to the story in a fully empathetic way. Such a shame.
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