Lady Macbeth

A low-budget copy of In Secret with a few minor differences. Instead of a big city, the love triangle takes place on a country estate, and the absence of big names is replaced by unknown actors with interesting potential. This experiment has its charm and the whole has a pleasantly spontaneous and improvisational feel. It certainly lacks the sex appeal of Elizabeth Olsen, or the maturity of Jessica Lange, but even this more emotionally rudimentary and animalistic variation of love, betrayal, revenge is quite solidly watchable. (17/01/2018)

Lady Macbeth est la quintessence de la tragédie, qu'elle soit antique, shakespearienne ou autre. J'aurais d'ailleurs dû aborder les films avec Florence Pugh par celui-ci – à voir cette fille jouer comme ça son premier rôle principal à vingt ans, on se dit qu'elle refera parler d'elle à l'avenir ! Une performance absolument impeccable dans toutes les expressions, particulièrement celles des passions sombres. La photographie est magnifique, j'ai savouré les longs plans, qui m'apparaissaient comme des images parfaites. Pour des raisons subjectives, je ne peux pas mettre cinq étoiles à cause de l'une des scènes finales. Je peux supporter beaucoup, mais j'ai mes limites. (26/10/2023)

A beautiful demonstration of how destructive human relationships can be, and how passion and lust can destroy lives. The final shot of the main character takes on a morbid and quite frightening tone due to the overall events. The film doesn't spare us, but it doesn't go to extremes either; the main thing is carried by the good performances of the actors. (22/08/2017)

Après un long moment, voici à nouveau un film où les actions des personnages ne sont pas complètement prévisibles, et c’est quelque chose que j’aime bien. L’ouverture du film est très bonne : les longues séquences où il ne se passe rien, où l’on voit Katherine regarder par la fenêtre, s’endormir sur le canapé, dépeignent parfaitement l’ennui fou qu’elle éprouve. Ajoutez à cela la cinématographie et les magnifiques paysages de la campagne anglaise de la seconde moitié du 19ème siècle, qui est en même temps si terriblement déprimante qu’en ce qui me concerne, avec un mari bizarre et glauque, un beau-père encore plus abject, à rester enfermée dans la maison tout le temps, et avec comme seul endroit pour sortir le mauvais temps, eh bien, je pense que j’irais me pendre. Il est donc logique d’avoir de la peine pour le personnage principal, du moins jusqu’à un certain point, parce que par la suite, c’est à elle que vous voudrez passer un nœud coulant. (01/05/2017)