Innocents

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Bande-annonce
Drame / Romance / Érotisme
Grande-Bretagne / France / Italie, 2003, 108 min (Coupe du réalisateur : 115 min)

Résumés(1)

Printemps 1968. Venu faire ses études à Paris, Matthew, un jeune Américain timide, est un habitué de la Cinémathèque. Arrive le jour de l'éviction de Langlois, qui met le palais de Chaillot en ébullition. Pendant que Léaud et consorts s'égosillent, Matthew fait la connaissance d'Isabelle et Théo, deux faux jumeaux, dont la passion cinéphile et la liberté de ton le charment immédiatement. Très vite, ses deux nouveaux amis lui proposent d'emménager chez eux. Au moment d'aller se coucher, Matthew entrouvre une porte et aperçoit Théo et Isabelle, endormis, nus et enlacés... (Arte)

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Critiques (2)

novoten 

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anglais I understand Bertolucci's obsession with the beauty of Eva Green, but when each openly erotic scene feels slightly less than the previous one, this trilogy falls into sadly forgettable average. The pleasantly nostalgic feeling disappears, the story drowns itself, and only occasional beautiful shots (such as Eva as Venus) can pull me out of the excessive constraint. As a result, this dream leaves me completely unaffected, despite the fact that the entire form aimed much higher. ()

NinadeL 

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anglais An eye candy solution to the schematism around 1968 and the affair of French cinema. Fortunately, more important than Henri Langlois is the knowledge of films with Greta Garbo and Marlene Dietrich, and the application of cinematic pleasure to domestic orgies. So you feel like masturbating in front of a picture from Blue Angel? Enjoy and forget about Godard. ()