Résumés(1)

A Detroit, en 1995, Jimmy Smith Jr. a des rêves plein la tête, mais il lui manque encore les mots pour les exprimer. Sa vie d'adolescent se déroule entre banlieue blanche et quartiers noirs, le long de cette ligne de démarcation que l'on nomme 8 Mile Road. En dépit de tous ses efforts, Jimmy n'a jamais franchi cette barrière symbolique et continue d'accumuler les déboires familiaux, professionnels et sentimentaux. Un jour, il participe à un clash - une joute oratoire de rappeurs - où il doit faire face à Papa Doc, le chef de la bande des " Leaders du Monde Libre ". Paralysé par le trac, il reste muet et doit quitter la scène sous les huées de la foule. Cette nouvelle humiliation l'oblige à un salutaire examen de conscience. Quelques jours plus tard, Jimmy se retrouve forcé de tenter un come-back... (texte officiel du distributeur)

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Bande-annonce 2

Critiques (7)

claudel 

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français Défi cinéma en situation de confinement – actrices préférées : Brittany Murphy. Detroit avec ses quartiers noirs et une bonne dose de rap, d’oisiveté et de grisaille. Au milieu de tout ça, un garçon blanc élabore son grand rêve. Eminem surprend par un sans faute aux côtés de grandes pointures du cinéma. Je regrette juste un peu d’avoir choisi un film où Brittany Murphy joue une salope sans personnalité. En tout cas, il y a pas mal de noms célèbres dans ce film. Personnellement, je trouve que le scénario est quelque peu simpliste et que le tout manque de magie. Et si le Detroit d’il y a dix-sept ans était désespéré à ce point, je préfère ne pas savoir où en sont les choses en 2020… ()

POMO 

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français Si vous avez aimé Rocky il y a longtemps et que vous n'avez pas grandi depuis, vous vous amuserez. Mais pour moi, 8 Mile était un peu ennuyeux et trop simple. Ce n'est pas la faute de Curtis Hanson ou Eminem, mais c'est la faute du système qui règne dans les quartiers sales des grandes villes américaines. ()

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novoten 

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anglais The rough scene of a city full of disappointed souls unfortunately perfectly corresponds to the music style and culture that I hate, created around it, which naturally has to reflect in the evaluation. I acknowledge that the atmosphere of the short battles is breathtaking and thanks to Eminem's acting talent, it earns all the available points, but the ubiquitous mood simply doesn't resonate with me. Moreover, it's a shame that Curtis Hanson brought Kim Basinger from L.A. Confidential, as her role as an emotionally blackmailing mother doesn't fit, and her hysterical fit irritated me to the utmost in every scene. The significant scenes from the poor family gain a noticeable crack, which is even more unfortunate considering that the whole story can score even in details like the conversation with little Lily or the only glance in the mirror. The oppressive atmosphere and clever direction leave a more positive impression after it ends. 70% ()

Lima 

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anglais The incredibly banal, rudimentary story, which could be described in a few words, is certainly not the highlight of this film. Nevertheless, thanks to the skilful direction of an experienced filmmaker, it's quite a watchable affair that can be seen from several angles. For some it may be a self-celebratory ode to a famous rapper, for others an autobiographical story, or a clever producer's move to monetize what's hot right now. For me personally, all of the listed options together, plus a curious visit to a culturally and mentally distant environment where respect and esteem can be won in a rapper's duel, where a rich vocabulary and artfully put together words replace cords or fast colts at the waist. For one (but really only one) viewing, a passable piece of work. Summary: two and a half *. ()

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