The Wife

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Bande-annonce 1

Résumés(1)

Après près de quarante ans de mariage, Joan et Joe Castleman (Glenn Close et Jonathan Pryce) sont complémentaires. Là où Joe est décontracté, Joan est élégante. Là où Joe est vaniteux, Joan est modeste. Et lorsque Joe jouit de son rôle très public en tant que grand romancier américain, Joan consacre son intellect, sa grâce, son charme et sa diplomatie considérables à son rôle d’épouse. En 1992, Joe est sur le point de recevoir le prix Nobel de littérature pour l’ensemble de son œuvre. Celle-ci a débuté à la fin des années ’50 alors qu’il faisait la rencontre de Joan, et n’a cessé de récolter les éloges depuis. En pleine célébrations à Stockholm, on flatte et on flagorne Joe, tandis que Joan reste discrètement à ses côtés. Un journaliste (Christian Slater) se présente, désirant écrire une biographie de l’écrivain, qu’il soupçonne ne pas être l’auteur à part entière de son œuvre… (Métropole Films Distribution)

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Critiques (4)

Malarkey 

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anglais Those who went through a similar story of grandparents in their own family will certainly understand the context and the acting exertion of Glenn Close. She really sacrificed herself for this movie with her performance. Otherwise, it is a weirdly bleak and gloomy flick that is trying to be funny at times, but that is not 100 % in either respect. ()

claudel 

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français Tant le thème choisi que son développement sont excellents. En plus, ça peut s’appliquer à toute relation homme–femme et à tout domaine d’activité qu’ils exercent. La tension s’accroît petit à petit dans la relation et remonte à la surface, lentement mais sûrement, jusqu’à déboucher sur des scènes théâtrales aux dialogues exquis. Pour arriver à un tel résultat, il fallait un casting à la hauteur telle que la valeur sûre Glenn Close. À travers ses expressions, ses yeux, ses mimiques, celle-ci est capable de transmettre la tempête qui se déroule en elle. Je souhaite de tout mon cœur que pour cette septième nomination, elle décroche un Oscar. Les autres peuvent attendre. ()

Necrotongue 

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anglais The film's premise was great, Jonathan Pryce and especially Glenn Close gave great performances, but it somehow wasn’t enough. The pace of the story was painfully slow, and I was a bit bored at times. It might have helped if the creators had added some humor (there was space for that), but every potentially funny scene was concluded by a depressing ending, so the whole film seemed too gray ()

Remedy 

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anglais A compelling relationship drama. The gradual evolution of the central couple's life together is a very unpleasant picture of years of repressed emotions and gradually bubbling anger, which will inevitably come to a head sooner or later. The plot is terribly simple in essence, yet extremely engaging and intense, especially in the brilliant dialogue. The strongest link in the chain is undoubtedly Glenn Close, whose performance as the outwardly perfect yet inwardly brutally suffering wife is both breathtaking and hellishly authentic. ()