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1947. La chanteuse Édith Piaf et le boxeur Marcel Cerdan sont tous deux au sommet de leurs gloires respectives. Leur rencontre donnera naissance à une histoire d'amour pleine de passion, durant deux années, trop courtes. On a pu dire et écrire que le seul grand amour de Piaf était celui qu'elle avait pour Cerdan. En effet, alors qu'elle mettait le pied à l'étrier de la plupart de ses amants qui débutaient dans la chanson ou le spectacle, elle avait découvert en Marcel Cerdan une gloire du sport mondial. Ils avaient tous les deux la même notoriété. Cerdan n'attendait rien d'elle.

Le film témoigne de cette belle histoire d'amour qui s'arrêtera une nuit d'octobre 1949, quelque part entre Paris et New York à proximité des Açores. Parallèlement, Claude Lelouch met en scène une autre histoire d'amour entre un prisonnier de guerre assez primaire incarné par Jacques Villeret et sa marraine de guerre quasi sosie d'Edith mais appartenant à une famille de notables. Cette histoire là, aussi, se termine mal. En effet, la correspondance entretenue est biaisée. Le prisonnier a fait écrire ses lettres par son lieutenant interprété par Francis Huster. La vérité quand elle apparait est tragique. (Parafrance Films)

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NinadeL 

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anglais Ah, those terribly long Claude Lelouch films in which the camera is always moving, and at least an hour out of the three is completely unnecessary. For some it's a pleasure, for others it's an ordeal. It's romantic to devote an entire film to the brief romance between Edith Piaf and the married boxer Marcel Cerdan (middleweight champion of the world 1948-9), but the parallels! We watch Piaf and Cerdan in each other's arms for barely two hours, and it's quite lively. She learns who Joe Louis is and thinks about the rules of the cruel sport according to the Marquess of Queensberry so they have something to talk about together, and he only boxes where she has concerts lined up. It's a chapter in the lives of both, and not uninteresting to admirers of sport and art. But it wouldn't be Lelouch if he hadn't created an accompanying imaginary love story in the letters, which perhaps should have added gravitas to the animality between Piaf and Cerdan. ()

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