Nous ne sommes jamais seuls

(titre de festival)
  • anglais We Are Never Alone (plus)
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A paranoid prison guard moves into a village flanked by a state motorway. He befriends his new neighbour, an unemployed hypochondriac supported by his wife, working in the local grocery. Weary of life and caring for her two sons, she develops an attraction to the nightclub bouncer, but he is in love with the club stripper, who is in turn waiting for the father of her child to return from the same prison where our prison guard works. A story about the demons of our day. (Segarra Films)

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claudel 

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français Défi ciné 2018 : la République tchèque. De toute évidence, les films de Petr Václav ont une portée internationale et cela s’explique probablement par le fait que Petr a séjourné en France. On peut envoyer ses réalisations aux quatre coins de la planète sans souci, car le cinéaste nage dans d’autres eaux que la petite mare tchèque avec tout ce qu'on y trouve de bon et de mauvais. La connexion Roden–Vlasáková nous a déjà été proposée dans Les Mondes Parallèles et, à nouveau, elle fonctionne à merveille, même si l’état d’esprit diffère complètement. Selon moi, Roden est encore un cran au-dessus de sa prestation dans le film à succès Masaryk. Puis, n’oublions pas Miroslav Hanuš, que l’on a beaucoup plus le loisir d’apprécier au théâtre et à la télévision que dans ce film où il se montre peu. Il serait d'ailleurs bon de lui donner plus d’occasions de jouer au grand écran afin qu’il ne reste pas figé dans la mémoire de la plupart des Tchèques comme le méchant Korejs de la série Případy 1. oddělení. Et histoire de ne pas faire que des éloges : je me serais bien passé de la scène dégoûtante avec Roden dans les toilettes et je trouve que Petr Václav aurait pu encore plus et encore mieux exploiter le scénario. ()

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