Résumés(1)
En 1955, Éric Rohmer publiait dans les Cahiers du cinéma une série d'articles intitulée « Le Celluloïd et le Marbre ». Il y faisait un état des lieux assez polémique et désenchanté de l'art au XXe siècle, pourmieux rehausser par contraste la vraie modernité du cinéma. En 1965, Rohmer devait reprendre ce principe dans une émission de télévision où cette fois il allait demander à un certain nombre d'artistes contemporains de situer leur art par rapport à l’« art cinématographique ». Deux architectes et un urbaniste acceptent de confronter leur pensée à celle du cinéaste: Georges Candilis, Claude Parent et Paul Virilio. (Festival International du Film de La Rochelle)
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