Kippour

(titre de festival)
  • Israël Kippur
Israël / France, 2000, 124 min

Résumés(1)

6 octobre 1973. Tout est calme dans le pays, c'est Kippour. Quand la guerre éclate, Weiraub et son ami Russo se précipitent sur le Golan à la recherche de leur unité. Le chaos règne partout. Ne la trouvant pas, ils décident d'intégrer une unité de secouristes de l'armée de l'air et sont envoyés en mission sur le Golan pour récupérer les blessés et les morts. L'excitation des premiers instants fait très vite place à l'écœurement et à l'épuisement. Après quelques jours, leur hélicoptère est touché par un missile et s'écrase au sol. La guerre telle qu'elle fut vécue par Amos Gitaï. (Festival International du Film de La Rochelle)

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Critiques (2)

Marigold 

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anglais If Gitai had taken out the artistic etudes in the introduction and at the end, it would have been one of the best war films I've ever seen. Fundamentally similar to Lebanon (a testimony about the war through a very narrow personal perspective), but from my point of view, thanks to hyperrealism, skillfully induced stereotype and economical work with the characters, the film without much artistic perspective captures the devastating "repetitiveness" of the war. Once again, Gitai's work with the Mise-en-scène must be highlighted, which, in contrast to the self-purpose of Disengagement, is perfectly functional. ()

kaylin 

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anglais Another slightly different war film, which is actually shot as a documentary. What it succeeds in is showing how war can devastate human lives and nature, but at the same time the film tries to show how senseless it is. Nonetheless, it is a relatively long film, which doesn't necessarily add to its tolerability, but it can be endured. ()