Résumés(1)

En route dans une Allemagne surréaliste. Un policier déguisé en ours. Une documentariste incapable de réaliser des sujets intéressants. Un pédicure qui conserve précieusement la corne de ses patientes âgées. Un couple aisé qui ne veut pas prendre place dans une voiture allemande. Un écolier qui ne s’intéresse pas à la visite d’un camp de concentration organisée par son école. Un homme sauvage qui dresse un corbeau dans la forêt. Dans ce film à sketch, des liens de parenté ou les aléas du destin réunissent les protagonistes. Dans un pays où le soleil brille toujours et où les hommes sont beaux, gentils, brillants ou heureux. Jusqu’à ce qu’ils nous montrent leur côté obscur, et que nous comprenions qu’entre le paradis et l’abîme, il n’y a qu’un pas… (Zurich Film Festival)

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Vidéo (1)

Bande-annonce

Critiques (2)

POMO 

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français Les histoires indépendantes des tourments relationnels qui révèlent les «perversions» cachées du partenaire, ainsi qu'une histoire sur la culpabilité et les fausses accusations. Et d'une manière ou d'une autre, ces histoires se croisent là où on ne s'y attend pas. Comme remplissage de festival, c'est correct, mais dans la société de Haneke ou d'Alejandro Iñárritu, le film ne tient pas. Il ne contient qu'une seule scène marquante (un dialogue pertinent dans une voiture sur les avantages et les inconvénients de la nature allemande), les lignes narratives ne se croisent pas de manière particulièrement réfléchie, et les personnages avec des perversions ne sont pas présentés de manière assez "excentrique" pour que nous puissions sympathiser avec eux de manière compréhensive. ()

Stanislaus 

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anglais At first glance, Finsterworld is a truly strange and unconventional film. In the course of the plot, there are several intersecting storylines whose characters are bizarre and even twisted in a way. It offers a glimpse of all sorts of perversions and strange dialogues, and you are not sure what direction everything is going to take, as the plot is quite unpredictable. I have to say that I was really annoyed by the character of the sleazy and sociopathic Maximilian, but I felt quite sorry for Dominik and the teacher Nickel. I was also intrigued by the reflection on Germany by native Germans. At times the film evoked Iñárritu's Babel in plot and atmosphere (the hermit, the shooting, the interweaving of stories), but I felt it was missing something, something that could really pull me in and kill me off. ()

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