The Life and Time of Judge A.K.

(série)
  • Tchéquie Život a doba soudce A. K.
Bande-annonce
Tchéquie, (2014–2017), 24 h 11 min (Durée : 52–57 min)

Scénario:

Zdeněk Zapletal

Photographie:

Petr Koblovský, Jan Šuster

Acteurs·trices:

David Švehlík, Daniela Kolářová, Jitka Čvančarová, Jiří Bartoška, Marek Daniel, Andrea Buršová, Igor Bareš, Ivana Uhlířová, Jaroslav Plesl (plus)
(autres professions)

Saisons(2) / Épisodes(26)

Critiques (2)

gudaulin 

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anglais In ancient times of socialist Czechoslovakia, TV series were a showcase of television production and created a phenomenon that determined the satisfaction of viewers. Since then, there has been an effort by television managers to succeed in the field of original television series production, and with The Life and Times of Judge A. K., it is evident how ambitious the goal was to create a series that would please both the audience and critics hungry for artistic reflection of today's morally divided era. Through its protagonist, the series aims to raise questions and delve into painful moral dilemmas. I cannot assess the professional aspect of the project, that is, to what extent the discussed legal cases correspond to existing legislation. As for everything else, David Švehlík excels and portrays a charismatic protagonist, with whom viewers will likely have no trouble identifying given his human judgments and professional rulings. The series functions quite decently based on individual court cases – typologically characteristic cases that, although lacking depth or rather pretending to have depth, are still considered solidly above average compared to commercial series of competing television stations within the framework of the game in the small country. However, I am accustomed to comparing Czech productions with unconventional works from world television, and the gap is still enormous. The series does not captivate and is up to his ears in entrenched schemes and conventions. The character's inner monologues are somewhat literary and pedagogical, his personal life and problems bore me, and when I skipped two episodes, nothing attracted me to watch them online. It is not a fundamental series for me, although some of the problems and topics are serious. Overall impression: 55%. ()

claudel 

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français Je ne supporte pas les évaluations qui sont faites après un, deux ou trois épisodes d’une série, sans parler de celles faites sur les vingt premières minutes. Je ne comprends vraiment pas les personnes à l’origine des 482 notes actuelles. De mon côté, je ferai mon évaluation après le générique de fin du dernier épisode. Épisode 1 : Ça commence sur les chapeaux de roue. Par sa prestation, David Švehlík a suscité en moi une grande sympathie et je dirais qu’il joue ici l’un de ses rôles les plus représentatifs. Sa voix intérieure, souvent mordante, satirique et caustique, allège adéquatement des situations souvent graves. Le personnage du juge Adam me parle beaucoup. Je peux témoigner, de par ma propre expérience, que la carrière de juge n’est pas ce qu’il y a de mieux pour les gens doux et à l’âme sensible. Le segment narratif avec la thérapie, l’environnement familial (ou son manque) auquel est confronté Adam et l’intrigue policière, tout ça fait mon bonheur. Un excellent contenu pour un lundi soir. Épisode 2 : Je n’ai pas tellement aimé le procès concernant Melichar, même s’il faut reconnaître que c’est, sur un espace restreint, un festival des meilleurs acteurs de théâtre tchèques. Les segments narratifs secondaires, par contre, sont de plus en plus intéressants. Épisode 3 : Bareš contre Uhlířová, Patka contre Kolářová et les monologues intérieurs de Švehlík sont déjà garants d’un épisode réussi. Je suis curieux de savoir combien d'autres acteurs de théâtre apparaîtront dans des rôles d'avocats, de procureurs et d'accusés. Le 4e épisode nous offre davantage de comédiens des théâtres de Dejvice et du Club dramatique de Prague et maintient la grande qualité des épisodes précédents. À l’inverse, l’épisode 5 n’innove absolument pas avec son thème éculé des tabloïds qui s’immiscent dans la vie des célébrités et pseudocélébrités. Ennuyeux, donc. L’épisode 6 fait s’affronter encore d’autres stars du théâtre, par exemple Liška contre Noha. C'était clairement un épisode intéressant avec le problème moral et juridique qu’il mettait sur la table et qui, dans certains États, est résolu de manière assez radicale : si quelqu'un vole sur ma propriété, j'ai le droit d'utiliser une arme à feu et je n'ai pas à m’en faire s’il m’arrive de blesser quelqu’un. L'intrigue policière et son versant psychologico-relationnel se mettent en place, lentement mais sûrement. ()