VOD (1)

Résumés(1)

Jacques Darnay sort de prison après avoir purgé huit ans de sa peine : il avait été condamné après un hold-up commis chez un bijoutier, ce dernier ayant été tué dans l'affaire. Les policiers, conduits par le commissaire Rouxel, le surveillent : ils savent que Darnay a caché les quatre millions de francs de diamants volés au cours du hold-up. De plus, Rouxel est persuadé que Darnay, braqueur professionnel, n'a pas tué le bijoutier et il veut mettre la main sur l'assassin. Mais de mystérieux truands l'attendent également. Ils veulent récupérer les bijoux et, pour cela, font le vide autour de Darnay en tuant son meilleur ami, Mignot, sa maitresse, Clarisse et son ancien complice, le neveu du bijoutier et son meurtrier. Darnay demande alors son aide à Gino Ruggeri, un caid reconverti dans la respectabilité. Ruggeri lui prete de l'argent, lui vend une arme et l'héberge dans sa garçonnière. Il lui envoie meme sa maitresse Nathalie pour lui tenir compagnie. Mais, grace à Nathalie, Darnay découvre que Ruggeri est le chef de la bande qui veut le tuer après avoir mis la main sur les diamants. Il élimine alors trois des hommes de Ruggeri et lui fixe un rendez-vous sous prétexte de le rembourser de ses dettes, en lui laissant entendre qu'il a retrouvé les bijoux. Mais Ruggeri ne vient pas. Lui et ses hommes font prisonnier Darnay qui rentrait à son hotel et l'enferment dans la cave d'une villa déserte. Nathalie, qui les avait suivis, le délivre à l'insu de Ruggeri. Par Rouxel, qui vient l'interroger, Darnay apprend que Ruggeri a éliminé ses complices et pensait lui mettre les crimes sur le dos après l'avoir tué. Il retourne alors à la villa. A nouveau capturé par Ruggeri, il réussit à le tuer et part avec Nathalie pour l'étranger - où il avait fait parvenir les diamants, huit ans plus tôt ! (Pathé Films)

(plus)

Critiques (2)

Malarkey 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais Partially, it makes for a good French movie; especially mid-story and in the very end. But the movie’s awfully dragged-out. The entire time, I felt as if the two hours were far too much. And Alain Delon wasn’t exactly making things easier as a not-so-likeable character. Everything else is a classic and the ending is worth the two-hour wait. ()

gudaulin 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais Delon had already made his best crime films during the filming of The Fighter, and his performance now exudes routine and stereotype. However, he has not forgotten how to act and has not lost his charisma, so thanks to his presence, the mediocre script, which is occasionally quite shaky, stays afloat. Another positive aspect is the presence of the young Anne Parillaud, who later shone as Nikita in Besson's famous film. ()