Passion

  • États-Unis Passion (plus)
Bande-annonce

Résumés(1)

Deux femmes se livrent à un jeu de manipulation pervers au sein d'une multinationale. Isabelle est fascinée par sa supérieure, Christine. Cette dernière profite de son ascendant sur Isabelle pour l'entraîner dans un jeu de séduction et de manipulation, de domination et de servitude. (ARP Sélection)

Vidéo (3)

Bande-annonce

Critiques (3)

claudel 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Défi cinéma en situation de confinement – actrices préférées : Rachel McAdams. Rachel a un minois angélique, peut se montrer mignonne et à croquer, mais peut aussi se comporter en vraie garce vulgaire et effrontée. Elle se range moins souvent dans cette deuxième catégorie, mais elle n’en est que plus sexy. Et le film lui-même est sexy, peut être plus sexy encore que son modèle français. Malheureusement, après autant d’années, je ne me souviens pas de l’intrigue du film français original. Par contre, ce dont je me souviens très bien, c’est que la différence d'âge entre les deux protagonistes était de vingt ans et non de un. Et ça rend cette version-ci plus sexy. D'un autre côté, je me souviens que le scénario original était clair et basique, alors que dans le cas présent, je me suis un peu perdu vers la fin et je ne savais plus trop quoi penser. J'en ressors donc avec une impression générale en demi-teinte. Mais si je ne devais évaluer que Rachel, elle obtiendrait cinq étoiles… ()

lamps 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais A sober psychological thriller that smartly builds tension across parallelisms and constructive shots and montages that follow several storylines. The development of Noomi Rapace relies on the likeness of Rachel’s actions, while the plot develops according to the expectations of an erotic thriller about revenge (the sex is not very explicit, but represents a key motivational element) that is disrupted (again through parallelisms) by the intervention of a third party and the effectively variable communicativeness. The resolution is simple, but De Palma delivers it in a flamboyant dreamlike style that leaves room for diverse interpretations, which for me is a sign of filmmaking talent. Also, another great role for Rachel McAdams. 85% ()

Annonces

Kaka 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais The expressive means are the classical mainstream of Brian De Palma – nothing innovative or superfluous. But unfortunately, as it is traditional in his works, there too many script twists, mindfuck situations and plot turns. And adding some Lynch-like stuff to all of that is not very wise, either. Still, it's impossible not to prase the refined aesthetics and work with music and camera. ()

Photos (99)