What Maisie Knew

It can’t be easy to convey such a difficult topic. But the authors have handled it perfectly. The story is very strong, very heavy, but at the same time, it reflects the reality of the modern era, aka the reality where a baby is born to two young parents but they don’t have time for it, they don’t have time for one another and they try to compensate for it with their careers which might be great, but they don’t last forever. Also, Onata Aprile was the best thing that has happened to this movie. That girl was absolutely amazing. Throughout the movie, I was sad but also happy for her; sad about the way that this world can treat children, happy about the good people still left in this world. And all she had to do was a single look in her eyes, and she was saying it all. This movie’s done it – it has exhausted me emotionally. (10/07/2014)

In the thoroughly modern drama What Maisie Knew, starring such popular actors as Julianne Moore and Alexander Skarsgård, few would have expected an adaptation of Henry James' 1897 novel of the same name. The issue of divorce and its impact on the child has not changed much since then and that is why it seems so topical. A similar film with the same sensitivity, depicting a little protagonist, was made in the Czech Republic and was called Who's Afraid of the Wolf. (08/01/2021)

En tant que femme sans enfant, je n’ai pas le droit de juger les parents – la façon dont ils s’occupent de leurs enfants, les élèvent et leur consacrent du temps, ce qu’ils leur disent et leur confient. Mais personne ne peut me faire croire qu’il y a des gens qui ne devraient pas avoir d’enfants du tout. La façon dont les deux parents du film mêlent leur fille à leur relation, médisent l’un de l’autre devant elle, lui confient des choses qu’un enfant ne devrait pas entendre, cela m’a vraiment rendue malade… Sans parler de leur totale irresponsabilité, de la façon dont ils se refilent la petite Maisie de l’un à l’autre et en font porter toute la responsabilité à leurs nouveaux partenaires. Finalement, il s’avère que ces deux-là, des étrangers en quelque sorte (dans le sens où ils ne sont pas de véritables membres de la famille), l’ancienne nounou et le jeune barman, sont de bien meilleurs parents pour Maisie que ses parents biologiques. En général, le tout est bien interprété, mais il est clair que la star de l’écran est la petite Onata Aprile, que tout le monde souhaiterait avoir comme fille. Elle est tellement adorable, intelligente, drôle, sensible, et on espère pendant tout le film qu’elle finira entre de bonnes mains : entre les mains de personnes qui l’aimeront plus qu’elles ne s’aiment elles-mêmes, et qui lui donneront l’amour qu’elle mérite. (17/10/2016)