Pretty Little Liars

(série)
  • États-Unis Pretty Little Liars
États-Unis, (2010–2017), 119 h 41 min (Durée : 39–60 min)

Artistes:

I. Marlene King

Source:

Sara Shepard (livre)

Musique:

Michael Suby

Acteurs·trices:

Troian Bellisario, Ashley Benson, Lucy Hale, Shay Mitchell, Sasha Pieterse, Ian Harding, Laura Leighton, Janel Parrish, Holly Marie Combs (plus)
(autres professions)

Saisons(7) / Épisodes(160)

Résumés(1)

Quatre adolescentes reçoivent de mystérieux messages d'une ancienne amie qui a disparu un an plus tôt... (texte officiel du distributeur)

Critique de l’utilisateur·trice claudel pour cette série (2)

Pretty Little Liars (2010) 

français J’ai l’impression que toute personne passionnée de films et de séries verra dans Pretty Little Liars un mélange de Desperate Housewives, Twin Peaks et d'autres séries qui se déroulent au lycée ou à l’université – Gossip Girl, Beverly Hills, etc. Moi, toutes ces séries-là me plaisaient énormément, donc un tel mélange m’enthousiasme beaucoup ! Un truc que j’adore, c’est les histoires mystérieuses dans lesquelles on va fouiller dans le passé en « sortant des squelettes du placard » pour créer de nouveaux retournements de situation. Sinon, il y a bien un ou deux clichés, mais on va fermer les yeux… Cette évaluation porte sur la première saison et le premier épisode de la deuxième saison. ()

Season 7 (2016) (S07) 

français Pretty Little Liars est mon plus grand plaisir coupable. J’ai regardé toutes les saisons au cours des années, bien que je ne fasse visiblement partie du groupe cible ni en matière d’âge, ni de sexe. Au début, j'ai aimé le mélange des genres et, surtout dans les premières saisons, j'étais tendu comme un arc et frissonnais même d'horreur par moments. Mais je crois que la fin aurait dû arriver avec la cinquième saison, parce que le niveau de la sixième était juste passable, puis avec la septième et encore plus à la fin, les scénaristes en sont venus à avancer à tâtons et à s’enliser sans pouvoir dignement conclure ce qui avait été mis en route il y a longtemps. Ça me fait penser à la quatrième saison de Prison Break qui, elle aussi, était vraiment prise de tête et laissait un arrière-goût amer. Et on ne s’étonnera donc pas de voir le dernier épisode affublé d’un carré gris, indication sur FilmBooster d’une qualité inférieure à la moyenne. Enfin, merci de nous avoir donné au moins quatre excellentes saisons ! ()