Résumés(1)

BIG EYES raconte l'éveil artistique de la peintre Margaret Keane, de son incroyable succès dans les années 50 à ses démêlés juridiques face à un mari qui revendiquait la paternité de son oeuvre dans les années 60. (StudioCanal)

Vidéo (11)

Bande-annonce 1

Critiques (3)

claudel 

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français Défi cinéma en situation de confinement – actrices préférées : Amy Adams. Il est incroyable qu'en l'espace d'un an, la même actrice ait joué à la fois le rôle de furie bourgeoise et sexy dans American Bluff et ce rôle-ci. Il était d'autant plus déchirant de voir cette femme discrète, silencieuse, impénétrable, introvertie, mais douée pour la peinture, se faire habilement manipuler par un filou rusé pendant toute la durée du film. J'ai horreur de l'injustice et j'ai dû faire passer le temps en accéléré pour arriver enfin à la satisfaction. Et je me suis délecté de la distribution des rôles principaux – Burton n'aurait pas pu trouver mieux comme couple que Waltz et Adams. Ça m'a d'ailleurs surpris de la part de Burton et, si je ne l'avais pas su à l'avance, je n'aurais probablement pas deviné qui occupait le siège de réalisateur ni capté aucun indice – d'autant qu'il n'a pas choisi ses acteurs habituels. En fin de compte, j'ai été ému et dans le cadre de mon défi, je décoche la note maximale pour la deuxième fois. ()

kaylin 

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anglais I somehow don't know whether I should actually be happy that Burton chose an interesting theme that suited him, but at the same time he suppressed himself and let someone else's art shine, only asserting himself in the visual aspect of the 50s and subsequently the 60s. Overall, visually it is weak for Burton, whereas in terms of the story it is inherently interesting and excellently acted. ()

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Necrotongue 

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anglais This film about an opportunistic bastard and a shy painter managed to entertain me even on a second viewing. I have no clue how much of the plot aligns with real events, and frankly, I don't care. What the creators presented didn't disappoint me in the slightest. Christoph Waltz truly stole the show, overshadowing Amy Adams. One aspect I appreciated was how I could easily grasp the meaning behind each painting. I'm not much of an art connoisseur, so Margaret's horror characters resonated with me more than the complexities of cubism or modern art. When it comes to visual art, I'm a simple person, and this movie hit the mark for me. If the story wasn't purely fictional, it was interesting to see Jehovah's Witnesses actually causing something good. I wonder how much it cost Margaret. ()

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