Cartes postales de Leningrad

  • Venezuela Postales de Leningrado
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Pendant la rébellion armée de gauche, dans les années 60, une jeune "guérilla" doit accoucher clandestinement. A sa surprise, comme sa fille est la première à naître "Le jour des mères", leur photo est dans les journaux. A partir de là, elles doivent fuir. Déguisement, cachettes et faux noms font partie du quotidien de la Fille, narratrice de cette histoire. En compagnie de son cousin Teo, ils réinventent les aventures de leurs parents guérilléros, construisant un fantastique labyrinthe de super-héros et des stratégies autour de la subversion armée, sans savoir où commence la réalité ou la folie. Mais le jeu des enfants n'arrive pas à occulter la mort, les tortures, les délations et trahisons vécues à l'intérieur des guérillas. Les enfants veulent devenir l'Homme Invisible pour être à l'abri et ne plus courir de risques. Cependant, bien qu'ils arrivent à échapper par moments à la peur, ils savent, que peut-être leurs parents ne reviendront jamais et qu'ils ne recevront que des "Cartes postales de Leningrad". (Colifilms Diffusion)

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DaViD´82 

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anglais This postcard seems to have got a bit lost. It came from the right place, but it’s like it doesn’t know its destination. Let alone which way it should set out. Shame, because I would like to read the book, if there is one. It has obvious potential. In fact I would also like to see it made for the silver screen. Even with the same cast, but made by a different director. Ideally somebody who doesn’t try to hide absolute lack of concept and confusion behind a catchy visual curtain. Why tell the viewer that Teo does three things every day to prove that he is not afraid, when this isn’t developed on and then the character doesn’t even behave accordingly. The same applies to the flustered old woman and to every character that appears in this. It unlocks a lot of potential, but nothing comes from it. It doesn’t manage to find the right wave of quirky poetry. The only saving grace is that the visual side really is smart and so occasionally a scene like a department store robbery using rats from your lethargy. But all in all, that isn’t enough. This isn’t going to be a “guerilla" Venezuelan Amélie after all. ()

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