Épisodes(10)

Critiques (2)

gudaulin 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice (pour cette série)

anglais The first season of Matrioshki actually had a double collective hero. It was a group of girls from the post-Soviet space who were lured to Belgium under false pretenses and ended up in a strip bar. The second collective hero was the employees of this establishment, who stood on the other side of the imaginary barricade. The series evenly divided its attention among the individual characters, and the absence of a main character surprisingly did not bother anyone. The second series of Matrioshki is more ambitious, and the viewers will venture into Southeast Asia, Romania, Bulgaria, and Transnistria, and there are also many more characters and players. Characters appear and disappear, and the screenwriting is somewhat fragmented. Just as the viewer begins to develop a relationship with a character, they die or disappear, so the impressions are a bit mixed - partly because the screenwriter sacrificed potentially more interesting characters, from whom I would expect a much more significant development. However, the development of the characters in the gang is interesting, as they acquire a more tragicomic dimension as their business and actions gradually spiral out of control. Overall impression: 70%. ()

claudel 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français SPOILER ALERT ! Dans la deuxième saison, les créateurs ont réussi à maintenir la barre là où ils l’avaient placée dans la saison un, mais ils persistent dans ce que j’avais justement reproché à cette première saison, à savoir que les personnages principaux devraient être des boss un peu plus menaçants qui inspirent la peur et la terreur. Au lieu de ça, ils sont peut-être involontairement risibles par la maladresse qu’ils affichent, sachant que c’est peut-être finalement fait exprès, histoire de légèrement détendre l’atmosphère autour d’un thème aussi dur que celui du proxénétisme. Sauf qu’avec les Russes et les Bulgares, les choses se sont en fait légèrement corsées. Par contre, ce qui m’a vraiment mis en rogne, c’est l’assassinat de Van Mechelen, le personnage le plus intéressant, en plus doublé en tchèque de façon brillante par Aleš Procházka. Deux saisons devraient suffire ; les autres séries se pressent au portillon ! ()