O Palácio dos Anjos

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Critiques (1)

Dionysos 

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français Khouri étudie à nouveau de manière critique sa société, mais cette fois-ci avec une duplication esthétique pertinente du détail privilégié d'un plan caméra sur le regard des personnages féminins étudiés, comme pour annoncer que le regard sur cette société sera issu du point de vue des femmes. C'est un changement, comme l'écrit correctement l'article ici (http://www.aescotilha.com.br/cinema-tv/central-de-cinema/o-palacio-dos-anjos-walter-hugo-khouri-critica/), par rapport à ses films les plus célèbres Noite Vazia (1964) qui sont racontés du point de vue des hommes. C'est peut-être pourquoi le film peut être décevant pour les spectateurs qui s'attendent à voir la femme comme un objet sexuel, car malgré la beauté incontestable de tous les personnages principaux et les couleurs doucement nostalgiques rappelant les telenovelas, il s'agit d'un film froid comme le regard tranchant de Geneviève Grad, où en arrière-plan de la musique, on entend toujours le murmure de la sirène des rêves échappés. La prédétermination dans notre société enseigne que le luxe et l'argent ne signifient une victoire que pour celui qui vend complètement son âme, et c'est ce genre de geste faustien qui se joue ici. Il se joue encore aujourd'hui et ici. ()