Résumés(1)

Le film décrit le processus de la création littéraire. Une partie de l'histoire se déroule dans l'imagination de Clive Langham, un écrivain célèbre qui sait qu'il va mourir et qui, la veille de son soixante-dix-huitième anniversaire, élabore sa dernière oeuvre, un récit dans lequel il parle de lui-même, de ses souvenirs, et dont les principaux personnages sont les membres de sa famille. Les liens et les divergences qui existent entre l'art et la vie sont révélés. Mais croyant peindre les autres, il s'est peint lui-même, mettant à jour certains aspects cachés de sa personnalité. (Jupiter Communications)

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Critiques (1)

Dionysos 

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français Histoire qui montre que parfois la fiction peut être la vérité de la réalité. Et que la plongée nocturne alcoolisée dans le monde de la fiction peut être une forme de thérapie mentale et un moyen (ou du moins une tentative) de se réconcilier intérieurement avec les erreurs du passé. La réalité n'offre aux personnes âgées qu'un jeu de masques faux, dans lequel nous ne comprenons pleinement le jeu que grâce à notre retraite préalable dans les idées des personnes âgées. Cela peut non seulement permettre des représailles contre son propre fils (le génial Bogard), mais aussi tenter de faire face à des traumatismes passés. Mais ce qui surprend souvent le spectateur, c'est l'approche plutôt amusante. Cependant, c'est une histoire déchirante sur un homme qui perd le contrôle de son corps, de ses proches (et ultimement de sa mémoire et de ses idées). Les personnages à l'écran sont présentés dans une grande partie du film comme étant déterminés par une force étrangère (la volonté du vieux écrivain-narrateur de l'histoire), ce qui est similaire au film suivant de Resnais "Mon oncle d'Amérique", où les personnages sont cependant déterminés physiologiquement ou psychosocialement. ()

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