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Disciple de Saint Siméon, un ascète syrien, Simon fait pénitence au sommet d'une tour de huit mètres plantée en plein désert. S'il accepte le cadeau d'un riche miraculé - une tour plus haute et plus confortable que la première, Simon redouble d'ardeur dans l'expression de sa foi pour mieux résister aux tentations d'un diable paré à toutes les ruses afin de le pervertir. Présent derrière les masques d'une ingénue perverse, d'un berger qui ressemble étrangement à Jésus et d'une vamp circulant dans un cercueil à moteur, Satan arrache finalement Simon à sa colonne et l'entraîne dans une boîte de nuit de New York. (Sidonis Calysta)

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Stanislaus 

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anglais Simon of the Desert mixes many religious scenes and symbols with a certain amount of irony and its associated humour. At times I felt like I was watching a Pasolini film. I really enjoyed the scenes with Satan and temptation, they were imaginative and humorously obscene. The biggest weirdness, however, arrives (or rather, lands) with the final time jump. PS: I wonder if Buñuel had a kink with kicking animals (see for example Age of Gold)? ()