Le Jeune Ahmed

Défi cinéma en situation de confinement n°2 – exploration du cinéma mondial : la Belgique. Les frères Dardenne y vont de leur propre chemin et sont un gage de qualité depuis pas mal d’années déjà. Et ils me séduisent énormément quand ils passent à Cannes (mais pas que). Cela dit, avec Le Jeune Ahmed, ils marchent sur des œufs avec le thème religieux qu’ils ont choisi, un thème de plus en plus actuel et délicat en Europe et dans le monde. Le film est correct, le scénario est bon, mais certains passages sont ennuyeux et on est loin des chefs-d’œuvre précédents. (05/05/2020)

Through the emotionally neutral story of a fanatic teenage boy, the creators vividly showed how essentially any religion can be easily abused. Just by brainwashing sufficiently malleable individuals, who can quickly turn into dangerous criminals under the guise of faith. I was really amused by the one person’s suggestion that this wasn't even in Europe during the Dark Ages. I wish such a person could experience this infamous period of history for himself. I think he'd be running back to the present very quickly. Europeans then, under the auspices of God, committed far more massive and brutal atrocities than the people here, wherever they are originally from, resort to today. (70%) (11/07/2021)