Gens de Dublin

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En ce mois de janvier 1904, les sœurs Kate et Julia Morkan ont, à l’occasion d’un bal, réuni famille et amis. Comme chaque début d’année, la réception rythmée par chants, danses, et déclamations de poème gaëliques est un franc succès. Gretta, la femme de Gabriel Conroy, leur neveu, qui s’était jusque-là tendrement laissée bercer par les conversations de la soirée, est bouleversée par le chant du ténor Barell D’Arcy. L’air traditionnel « The Lass Of Anghrim » a en effet réveillé en elle la nostalgie d’un amour de jeunesse perdu. De retour chez eux, Gretta consent à s’en ouvrir à son mari. (LaCinetek)

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Critiques (1)

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kaylin 

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anglais John Huston and his contemplation of death at a time when he was preparing for eternity. No, he definitely didn't harm himself with this film; he was already on that pedestal long before. It's an interesting farewell, definitely not a bad film, but one that will captivate literature enthusiasts more than moviegoers. It's beautifully stylized, but it didn't impress me or resonate with me as much. ()