Innocent Lies

Dans le premier épisode, j’ai surtout savouré les fabuleuses prestations d’Aňa Geislerová dans le rôle principal et de Daniela Kolářová dans son rôle secondaire. Le thème est très douloureux et triste et les relations sont décidément bien difficiles, en particulier quand les partenaires se mentent à propos de choses élémentaires. (18/03/2017)

Après un sujet très sérieux dans le premier épisode, on se retrouve avec quelque chose de léger. C’est littéralement un « mensonge innocent » qui n’entraîne aucune conséquence tragique. Vilhelmová et Dyk vont bien ensemble ; le courant passe bien entre eux. Et finalement, Ruppert et Čvančarová, qui jouent les amis comme rôles secondaires indispensables, ne sont pas si pathétiques que ça. Un bon trois étoiles. (14/04/2017)

Eh oui, ça reflète parfaitement notre époque : mettre sur les gens la pression maximale, les utiliser et en abuser jusqu’à épuisement, puis les envoyer au diable. Superbement joué, superbement écrit et un final relativement réaliste. (14/04/2017)

La référence absolue pour cette thématique est La Chasse de Thomas Vinterberg, mais la mise en scène offerte par la série Nevinné lži n’a pas à rougir. Le récit est très crédible et il est très bien écrit et interprété. Sa fin est digne. Tout fonctionne comme il se doit. Cet épisode est l'un des meilleurs de toute la série. (17/04/2017)

Pour moi, cet épisode est le plus faible des deux saisons. Le mensonge et l’intrigue ne valent rien et la monotonie est presque totale, ce qui m'étonne particulièrement quand je vois qui est à la fois le réalisateur et le scénariste. (17/04/2017)

Trois belles prestations par trois actrices célèbres, avec Javorský en prime, toujours aussi génial et parfait. Résultat ? C’est l’un des épisodes les plus joyeux – pour ne pas dire doux-amers – de la série. (17/04/2017)

Cet épisode-ci plaira surtout aux hommes et plus particulièrement, a ceux qui suivent le sport, soutiennent des sportifs et sont affiliés à un club. Je ne vois absolument pas comment les non-fans et désintéressés du sport pourraient apprécier, mais pour nous les autres, il y a de quoi se défouler. Kryštof Hádek fait des étincelles et est joliment secondé par Plesl et Máj. Jana Pidrmanová est sexy comme toujours et fait une magnifique démonstration de superficialité. Probablement l’épisode le plus fun de toute la série. (17/04/2017)

Après le divertissant Zrádce, on change complètement de registre avec un épisode substantiellement psychotique qui m’a personnellement fort secoué et a conforté mon idée comme quoi on ne peut pas se soumettre sans réserve aux médecins et tout résoudre avec des médicaments. Kodetová apparaît dans plusieurs épisodes, mais celui-ci lui appartient. (17/04/2017)

Encore une fois, Bohdan Sláma ne déçoit pas et entame une sacrément bonne partie avec Stanislav Majer, lequel brille véritablement, dans une histoire forte et tragique doublée d’une série de fils annexes. (17/04/2017)

À première vue, Moje pravda n’est pas grandiose, mais après avoir laissé le tout décanter dans ma tête et avoir lu le commentaire de l’utilisateur Helmutek, je suis tout à fait d’accord avec lui en ce qui concerne le dénouement de l’histoire. En effet, j’ai peut-être un peu vite jugé les choses pendant que je regardais, me disant que ceci ou cela était inutile, exagéré ou excessif. Cela dit, les relations humaines nous offrent parfois des variations très inattendues et singulières, donc il est bon de laisser libre cours à l’imagination des auteurs de drames relationnels. (17/04/2017)

Cet épisode tire la sonnette d’alarme à l’heure du tout-connecté, où même les jeunes enfants ont un accès facile à toutes sortes de choses perverses et dégoûtantes et peuvent en subir des conséquences fâcheuses et importantes. Une fois encore, Jan Hájek joue avec engouement un personnage sujet à controverse. (17/04/2017)