Une poupée gonflable dans le désert

Trans-Europ-Express plus d'action japonais : tous les plans temporels et les possibilités de développement des personnages et des événements coexistent en un seul instant. Je suis en désaccord complet avec Monsieur Flígl ici, "que chaque élément de style était motivé par une décision purement impulsive", car au contraire, les différents éléments, tels que la linéarité habituelle remise en question ("il m'a salué comme un yakuzu", c'était à trois heures, "c'est étrange qu'il n'ait laissé qu'une seule balle dans le barillet", etc.), sont et doivent être soigneusement incorporés à l'assemblage final d'un tel film. Et ce, précisément parce qu'il n'est pas facile de créer un film dans lequel aucun événement, aucune décision, aucune erreur n'existe qu'une seule fois, mais où les personnages reviennent constamment du futur ou sont attaqués par leur propre passé. Ce n'est pas facile pour qu'en même temps cela ne laisse pas la possibilité d'une reconstruction simple (dans ce cas, je reprocherais seulement à l'auteur que certains des points nodaux de la construction du film mentionnés ci-dessus étaient parfois trop évidents). (03/05/2016)