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Variations en trois parties sur l’érotisme et le désir par trois maîtres du cinéma contemporain : Michelangelo Antonioni avec « Le périlleux enchaînement des choses », Steven Soderbergh avec « Equilibre » et Wong Kar-Wai avec « La main ». (Arcadès)

Critiques (1)

claudel 

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français Dans le trio de réalisateurs célèbres, c’est Antonioni qui s’en tire le mieux. La première histoire est assez étrange dans son contenu, mais parfaite dans sa forme, ce qui était sans doute intentionnel dans l'esprit du grand réalisateur. La photographie et la BO sont réussies et les personnages peu loquaces affichent souvent des raisonnements dignes d’intérêt. Cette réplique m’a frappé : « Et la mélancolie qui arrive avec la fin de l’été. » Ces mots m’ont rendu perplexe, mais maintenant qu’on est le 31 août, je dois reconnaître qu’ils sont incroyablement pertinents et vrais. La deuxième histoire était désastreuse ; j’ai réalisé que chez Soderbergh, je n’avais aimé qu’Ocean’s Eleven. Quant à la troisième, elle était captivante au début, mais ennuyeuse par la suite. Wong Kar-wai ne m’emballe finalement que par son spot publicitaire pour le parfum Midnight Poison de Dior. Distribution des pourcentages : 60 % pour Antonioni, 10 % pour Soderbergh et 40 % pour Wong Kar-wai. ()