Priscilla

Le début ne manquera pas de ravir tous les fétichistes des pieds. Tous ceux qui ont joué dans Euphoria sont devenus des stars mondiales – et Jacob Elordi le mérite pleinement. En bad boy parfait, il convient particulièrement au rôle d'Elvis, surtout dans ses moments sombres liés à la drogue. Les fans inconditionnels pourraient être dérangés par la différence notable de taille par rapport au véritable Elvis et, en particulier, par le décalage frappant avec la petite Cailee Spaeny. Personnellement, au vu de mes préférences personnelles, c'est loin de me déranger. Le jeu de Sofia Coppola capture magistralement la solitude dans la relation, la manipulation, la toxicité, le vide et la douleur. La frêle Cailee Spaeny incarne Priscilla avec brio et mérite l'admiration. Le personnage détestable et odieux du Colonel n'apparaît heureusement pas dans le film, bien qu'il soit souvent mentionné. Dagmara Domińczyk, c'est dans Le Comte de Monte Cristo que je l'ai vue la dernière fois, donc pas étonnant que je ne l'aie pas reconnue. Un film très réussi qui complète parfaitement Elvis sorti l'année précédente. (23/05/2024)

The costumes are great, the acting is unsurprisingly good (Jacob Elordi as Elvis is a hit), but the story is sterile. I know this is a film by the already mature Sofia Coppola, but still… Maybe I was expecting a return to the slightly wilder waters of Marie Antoinette's time? If you have already seen a romance or two, the development of Priscilla's relationship with Elvis will be fairly predictable without ever having heard of them before. Therefore, you have no choice but to look at the nice interior design. Thankfully, there aren’t any downright deaf spots, but for this intimate film being just under two hours long, I didn't learn noticeably more than I did last year from Baz Luhrmann about Priscilla's relationship with the King of Rock 'n' Roll. (29/10/2023)